Séparation

Lors du premier rendez-vous avec Cyril, j’étais en très grande souffrance émotionnelle. Bloquée, broyée et sans force, dans une relation maritale toxique.

Cyril a très bien cerné la détresse dans laquelle j’étais et les six séances d’hypnoses ont eu un effet surprenant sur moi.

Le protocole thérapeutique étant basé sur la reprise d’un équilibre de vie, la santé physique et émotionnelle, reprendre gout à la vie, retrouver la confiance et la force.

Après chaque séance je me sentais à plat pendant 2 jours.

Quelques effets rebond aussi : comme des montagnes russes, parfois en pleine forme et super active suivie d’un état plutôt léthargique. 

En quelques semaines, je sens doucement que je reprends le contrôle, je revois les couleurs et les contrastes de la nature multipliés par dix, j’ai ouvert un dossier de divorce alors que c’était pour moi inimaginable il y a encore quelques semaines. J’avance par étape vers un chemin plus serein.

Un grand merci Cyril de m’avoir accompagné efficacement dans cette période difficile de ma vie, avec tact et compassion, vous êtes un vrai professionnel qui prend son métier à cœur.

Vous avez été très important pour moi.

Après une séparation que j’avais moi-même volontairement provoquée, je me suis retrouvé dans un état dépressif dû à un vide affectif tel qu’à un moment j’avais décidé froidement et en conscience, comme option de choix de vie, la fin de celle-ci. La seconde option était d’effacer de ma mémoire tous les souvenirs des douze ans de vie commune vécus à deux cents à l’heure, un peu comme dans le film « Eternal Sunshine of the Spotless Mind ».
Je n’étais pas bien sûr du procédé mais j’avais entendu dire qu’avec l’hypnose thérapeutique on pouvait parvenir à cela d’une certaine façon et se réconcilier avec la vie.
J’ai interrogé le web pour trouver quelqu’un qui pourrait m’aider sur Pornic où j’habite et je suis tombé, un peu par hasard, sur Cyril. Avant de me rendre à son cabinet j’ai surfé sur le Net pour comprendre ce qu’était l’hypnose et lire des témoignages de personnes en France et à l’étranger, et toutes les réactions semblaient aller dans le même sens, d’une technique simple et rapidement efficace.
Au bout de quelques minutes après avoir poussé la porte du bureau de Cyril, je me suis senti en confiance. Première séance à exposer mon problème et à commencer une séance d’hypnose. Rapidement, j’ai atteint un état de transe et comme beaucoup de personnes, je me suis effondré en sanglots, les yeux fermés. Cette première expérience troublante m’a fait un bien fou et j’ai décidé de m’y investir complètement et de sortir définitivement de ma situation pourrie.
En six séances, sur une durée de deux mois, non seulement j’ai réglé définitivement mon problème, guidé par Cyril, mais en plus, j’ai trouvé ma vraie personnalité et décuplé mes ressources créatrices. Je n’ai, pour autant, pas effacé les fantômes qui hantaient mon esprit, mais je les ai domptés ; ils sont toujours là mais ne me dévastent plus, ils font juste partie de ma vie et ne sont plus que des étapes passées vers ma nouvelle vie épanouie.
Maintenant, s’agissant de Cyril, qui a été d’une grande douceur dans son écoute et qui a fait preuve d’une bienveillance rare à mon endroit, ce qui m’a convaincu que j’allais réussir dans ma démarche, était qu’il était complètement impliqué dans mon histoire. Et surtout, surtout, Cyril n’a eu, dès lors que nous avons commencé les séances d’hypnose, qu’un seul but qu’il n’a jamais lâché durant ces deux mois : celui de me faire atteindre mon objectif de guérison. L’hypnose, ce ne sont que des mots choisis et soufflés à notre inconscient, mais grâce à l’approche concrète et pragmatique de Cyril, nous avons réussi ensemble et je ne le remercierai jamais assez.
J’ai été tellement convaincu de l’efficacité de l’hypnose thérapeutique pour traiter tout un tas de problèmes qui ruinent ou hypothèquent le bonheur des gens, que depuis, je me suis inscrit à Paris à des formations pour en savoir plus sur le sujet de l’hypnose et peut-être, un jour et à mon tour, aider les autres âmes en détresse.
Merci Cyril.